Quand les horizons se rétrécissent, quand le brouhaha des grands boulevards devient aussi assourdissant que déprimant, l’évasion s’impose. Fuir le fracas d’une ville, d’une capitale qui n’a plus d’attraits, c’est plutôt s’insinuer dans les ruelles sinueuses de la vieille ville, de la Médina de Tunis. Fuir un environnement spatial, social, politique et culturel qui infléchit plus qu’il n’enrichit, c’est plutôt …